Concerné par les problèmes du monde contemporain et soucieux de la nécessité de comprendre la culture et les spécificités des différentes nations, Elie Hatem consacre une grande partie de ses activités aux relations internationales.
Militant contre le totalitarisme et pour la liberté, il s’est engagé dans la lutte contre le communisme dans les pays de l’Est, notamment en Pologne.
Membre de la WACL (World Anti-Communist League), il a été Vice-Président de l’association Radio Solidarnosc/France (relative au mouvement polonais de Lech Walesa).
Par ailleurs, il a consacré sa thèse de doctorat en droit international public et droit constitutionnel à la question chypriote. Cela l’a amené à côtoyer de près les différents dirigeants chypriotes, des communautés grecque et turque.
D’origine libanaise, il a consacré des travaux aussi bien au Liban qu’au Proche et Moyen Orient, ce qui l’a conduit également à nouer des contacts dans cette région du monde.
En 1996, un conflit aux Comores l’a conduit vers cet archipel de l’Océan indien, notamment à l’île d’Anjouan. Depuis, il s’est senti très concerné par les problèmes africains, en particulier ceux des Comores.
Croyant en la puissance du monde francophone pour faire le contrepoids à l’hégémonie américaine, il créa la Fondation pour la Francophonie qui a diverses activités à son palmarès.
Militant pour les valeurs patriotiques et nationales identitaires, il est particulièrement attaché aux valeurs millénaires françaises et fait partie du mouvement de l'Action Française depuis des décennies où il mène un combat pour la reconquête de l'identité nationale française.
A l’occasion du Sommet de la Francophonie qui s’est tenu en 2002 au Liban et grâce à l’initiative de Madame Léa Boutros-Ghali, épouse de S.E. Monsieur Boutros Boutros-Ghali, ancien Secrétaire Général des Nations Unies et de l’Organisation Internationale de la Francophonie, Elie Hatem crée la Fondation pour la Francophonie qui a pour objectif de renforcer les liens entre les peuples du monde francophone, œuvrer pour la propagation des valeurs francophones et préparer le terrain à de nouveaux pays pour faire partie de la Francophonie.
Disciple de S.E. Monsieur Boutros – Ghali pour qui il a une très grande admiration depuis son plus jeune âge, Elie Hatem désire porter le message de l’ancien Secrétaire Général de l’OIF selon lequel la Francophonie ne doit pas se contenter d’un aspect linguistique ou culturel mais devra remplir un rôle politique et social dans la monde, celui de la sauvegarde et de l’expansion des valeurs francophones pour faire, tout au moins, un équilibre avec le monde anglo-saxon.
Depuis sa création, la Fondation pour la Francophonie n’a cessé d’encourager toute initiative respectant ses objectifs : attribution de prix, participation à des manifestations culturelles et sociales, initiatives tendant à renforcer les liens entre les peuples qui partagent les valeurs francophones. Parmi ces réalisations, citons l’attribution du prix du meilleurs discours politique francophone à Monsieur Jean-Marie Le Pen, grand orateur du monde politique francophone contemporain (prix qui lui a été attribué à l’occasion de sa visite au Liban en 2002), prix de la meilleure expression francophone au Festival du Film de Deir El Kamar au Liban, à l’occasion de la visite de S.M. l’Impératrice Taï Phuong Vinh Thui, veuve de S.M. l’Empereur Bao Daï du Vietnam au Liban que lui a organisé la Fondation pour la Francophonie, en 2003, durant laquelle Sa Majesté a rencontré des politiques, des universitaires et des dirigeants spirituels libanais, de toutes tendances et confessions confondues et leur a exprimé les liens qui unissent le Liban au Vietnam. Le Prix des valeurs francophones 2005 a été attribué à Monsieur Serge Akl, Directeur de l’Office du Tourisme du Liban en France, grâce à son engagement pour le renforcement des liens francophones.